Mercredi 25 février 2009 - Mittwoch den 25. Februar 2009
Ce mercredi avait lieu une des étapes les plus éprouvantes, avec notemment la traversé du "bac à sable" partie des circuits du Paris-Dakar. Nous avions un peu plus de temps ce matin la pour nous reposer, notre départ etant prévu aux environs de 10h.
Mais nous avions quand même 80km de pistes à parcourir nous n'avons donc fait que peu de pauses.
Après une soixantaines de kilomètres pour rejoindre la piste nous avons attaqué cette nouvelle étape. Depuis 2 jours nous n'avions eut aucun nouveau problème technique, nous touchions du bois.
La piste était simple sur le début puis arrivé à hauteur du bac nous avons vu un spectacle étrange, environ 150 4L éparpillées dans le sable autour d'un col qui n'offrait que 2 possibilité de passages, une partie de 200m de sable mout ou un partie de 500 de sable un peu moins mou, et tout le reste autour n'etait que sable très fin idéal pour s'ensabler. Etant arrivé tôt à cette endroit, vers 13h, nous n'avons pas eu beaucoup à attendre et vers 14h nous sommes repartis du bac à sable. Malheureusement ce ne fut pas le cas de tout le monde, et jusqu'a 3h du matin le bac à sable resta rempli de 4L.
Nous avons donc continué notre route essayant tant bien que mal de suivre
le road book. Puis nous nous sommes perdus, nous avons du suivre un cap
pendant trop longtemps et nous ne voyions plus une voiture
à l'horizon. Alors nous avons changé de cap en essayant plus ou moins de s'imaginer par ou nous devions aller. Après s'être ensablé une bonne dizaine de fois, parfois sans personne pour nous aidé à pousser, nous avons pu rejoindre une piste qui nous a semblé correspondre avec le roadbook. Après 10-15 min nous avons retrouvé d'autre participants, et notre chemin par la même occasion, une ou deux heures plus tard nous étions arrivé au bivouac. Ce bivouac du mercredi était le dernier fait par l'organisation, en effet le jeudi et le vendredi avait lieu l'étape marathon, avec bivouac en autogestion, puis le vendredi soir et le samedi soir, nous étions attendu à l'hotel à Marrakech.
Comme évoqué plus haut cette étape fut très difficile pour beaucoup de participants, et le soir venu, vers 20h on nous annonca que le briefing quotidien était reporté au lendemain matin, car plus 400 équipages étaient encore sur les pistes. A 8h du matin le jeudi on appris que la voiture balet était rentrée à 7h30 du matin avec les dernières voitures.
"Piste ou hors Piste"
Dies war wohl die schwierigste Etappe, da sie sehr auf Orientierung ausgelegt war.
es handelte sich hierbei um 150km reine Off-road-Piste.
Erst
waren ca. 50Km "normale" Piste angesagt mit den üblichen Schlaglöchern
und dem gewohnten Gestein, dann kamen wir zum "Sandkasten".
Das 3 mal 4 Km große Tal gefüllt mit weichem Sand wurde von der Organisation liebevoll "Sandkasten " genannt.
Natürlich blieb hier jeder stecken und selbst die gewohnte Technik "wie die gesenkte Sau" half nicht viel weiter.
Mann
muss sich das wie ein großes Fliegennetz vorstellen in dem ca. 200 R4s
stecken bleiben, nichts desto trotz herrschte eine gute Stimmung, denn
der einzig halbwegs feste Weg war mit einem großen Stau bestückt.
Wir spielten Frisbee.
Diese
Hürde überwunden kamen wir in ein riesiges Areal das einer
Mondlandschaft gleichte und überall gleich aussah, hier musste wir uns
Orientieren.
Und da unserer Kilometerzähler nicht exakt
funktionierte waren wir ein bisschen verloren und schafften somit einen
kleinen Umweg von 50Km zu fahren.
Diese öde überwunden kamen wir
wieder in ein riesiges Wüstenareal das teilweise von kleinen Sandkästen
bestückt war und sehr sehr uneben war.
Bei dieser Strecke
verabschiedete sich auch der restliche teil des Auspuffes und uns blieb
nur noch der Schalldämpfer im Radkasten.
Als wir am Endpunkt angekommen waren wir sehr sehr froh es war ca. 17 Uhr.
Im
Lager war dann das Hauptgesprächsthema diese Etappe : "wie seit ihr
durch gekommen?" "hattet Ihr Probleme?" WANN seit ihr angekommen?"
zu
der Zeitangabe antworteten wir nur "es war noch hell!" das reichte
ohnehin den nur 200 Autos schafften es vor Einbruch der Dunkelheit ins
Lager.
Um 20:30, beim Briefing sagte man uns, dass noch 400 Autos
auf der Strecke wären und das das Mechaniker-Auto es noch nicht über
den Sandkasten geschafft hat.
Freunde die es erst bei Dunkelheit ins
Lager geschafft haben erzählten uns, dass überall Leuchtraketen zu
sehen waren, ich verstand wieso wir diese mitnehmen sollten.
Am Abend tauschte ich bei Normaden noch meine Taschenlampe und eine Axt gegen Schmuckstücke für meine Freundin.